Le travail comme l’école est un vecteur d’inclusion très valorisé.
Le travail suppose des savoir-faire, une qualification et la capacité à faire face à des situations diverses. Être « reconnu » et « utile » va faire du travail un support-clé de l’accomplissement, de la réalisation de soi et donc un vecteur fort d’inclusion
L’activité professionnelle, génératrice d’émancipation et de droits sociaux (d’expression, de rémunération, de formation, etc.) permet alors, à la fois, la participation à la production économique et une appartenance sociale active qui doivent permettre de dépasser l’opposition entre travail protégé et milieu ordinaire. L’accès à un parcours professionnel choisi, construit par expérience, formation successives, doit être ouvert à chaque personne en situation de handicap.